Après la route, la piste aménagée pour les piétons et les cyclistes le long de la côte jusqu'à la plage des Laurons
Après la route, la piste aménagée pour les piétons et les cyclistes le long de la côte jusqu'à la plage des Laurons
Rive droite, rive gauche de la Loire
La baignade naturelle de Mont-près-Chambord
Visite du Château de Cheverny
Passage très agréable en Touraine...
Vendredi, nous n'étions que 9 à randonner à vélo le long de la Corniche Varoise, de Six-Fours-les-Plages jusqu'au Brusc puis au petit Gaou.
La piste cyclable assez vallonnée nous surprenait un peu au départ, surtout les cyclistes en vélo musculaire et même le collègue avec l'assistance électrique qui avait oublié de prendre la clé pour y insérer sa batterie !
Après avoir passé le paisible village du Brusc avec son port et ses bateaux, la route se terminait au Petit Gaou, en face des îles des Embiez.
A la pointe du Gaou, face à la Terre, la statue la "Vénus sortant des flots" représente pour l'artiste, le symbole de l'osmose entre la terre et la mer.
Poursuivant notre circuit en retraversant le Brusc, nous attaquions le sentier du Littoral jusqu'à La Lèque, pour suivre la forêt en remontant vers Six-Fours. Malgré l'alternance continuelle des côtes et des descentes, cette petite balade sous un soleil de plomb avec quelques zones ombragées s’annonçait relativement bien, d'autant plus que l'objectif de certaines, était le bain de mer !
A l'entrée de La Seyne-sur-Mer, la descente vers la plage de Fabrégas nous donnait des ailes, l'heure du pique-nique étant un peu dépassée !
Après la baignade bien appréciée, retour vers Six-Fours-les-Plages sur pistes cyclables et voies partagées.
Christian G.
Animateurs : Josette D. et Christian G.
Photos : Christian G.
Un nombre pair de participants, idéal pour faire 2 groupes de 7 !!
Après location des vélos, montage de certains autres en kit et réparation d’une roue crevée sans avoir roulé, nous nous élançons d’Orange vers Jonquières.
Notre but : voir les plantations de tulipes.
Nous les trouvons à Causans : de belles rangées multicolores comme en Hollande nous attendent. Belle photo de groupe. Rencontre avec un géant hollandais qui gère l’endroit. Il vient en Provence faire grossir ses bulbes. Après avoir "dépétaler" les fleurs avec une "dépétaleuse" hollandaise, il extrait les bulbes à l’aide de filets enterrés (c’est Christian qui nous met la puce à l’oreille !) ensuite, il remonte ses bulbes en Hollande qui fleuriront un bon mois à l’avance sur ceux de ses collègues hollandais et lui permettront de vendre des fleurs coupées à Noël.
FR3 est en train de faire un reportage et filme notre arrivée à vélo tandis que des cultivateurs vendent des fleurs coupées. Une dame en a plein son pantalon !!
Départ pour Camaret sur Aigues (non, ce n’est pas Camaret sur Mer en Bretagne !). Au passage, détour par le beau château de Malijay au milieu de son clos de vignobles. Pique nique au bord de l’Aygues.
Puis passage par Sérignan du Comtat, pays du célèbre entomologiste Jean-Henri Fabre dont la statue nous accueille. Petite hésitation sur le chemin à suivre qui nous permet de photographier une mante religieuse (prega-Diéu) au milieu du carrefour.
Direction Uchaud et là deuxième champ de tulipes. Longue discussion de Christian, Simone et René avec l’exploitant du site. Il leur explique en détail la technique de relève des filets trop longue à détailler ici !! Ce monsieur est admiratif de nos capacités à pédaler sur une aussi longue distance. Le brave homme !!
Retour vers Orange en repassant par les bourgades précédentes. On rend les vélos, on redémonte certains, on en recharge d’autres sur les porte-vélos et chacun retrouve le chemin de la maison avec force remerciements pour Christian et Josette et la promesse de recommencer bientôt.
Météo : temps couvert mais agréable, ni trop chaud, ni trop froid et surtout pas de vent.
Petit bémol : presque pas de pistes cyclables sur les 45 km parcourus et grosse circulation sauf entre midi et deux.
GROSSE déception : on ne passe pas le soir à la télé à l’émission régionale😹😹😹😹
Geneviève G.
Photos : Claudie A., Geneviève G., Christine L. et Christian G.
Passé la via Venessia, les champs de tulipes apparaissaient avec des rangées de plants déjà bien épétalées...
Zone touristique où les visiteurs peuvent cueillir et acheter les tulipes. Rencontre avec le producteur hollandais à Causans
- Vendredi 3 Septembre :
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- Samedi 4 Septembre : De Claouey à Le Grand Crohot (32,7 km)
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- Dimanche 5 Septembre : De Claouey à la Dune du Pilat (54 km)
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- Lundi 6 Septembre : De Claouey à la Pointe du Cap Ferret (42,9 km)
Le Clou du jour, pas le phare mais la dégustation d'huitres au Cap Ferret !
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- Mardi 7 Septembre : De Claouey à Andernos (26 km)
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- Mercredi 8 Septembre : De Claouey à Le Porge Océan (53 km)
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- Jeudi 9 Septembre : De Claouey à Audenge (56 km)
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- Vendredi 10 Septembre : Retour sur Marseille
Le rendez-vous est donné au bord du lac du Lavau dans le quartier de la Vallée Heureuse. Le temps de nous équiper, nous prenons la direction de Sénas par une petite route goudronnée puis un bout de chemin de terre le long d'un canal. Nous traversons un bout de la ZAC de Sénas, où manœuvrent de gros camions, avant d'emprunter la route qui nous conduit à Eyguières. Beaux paysages sur la plaine et la chaîne des Alpilles avec, sur un éperon rocheux, les ruines du château de la Reine Jeanne du XIIe s. (ou Roquemartine).
Courte pause à l'ombre d'une haie et nous voilà prêts à affronter la montée de la colline du Défens, puis de redescendre vers une des trois sources qui alimentent Eyguières. La fontaine Cilouse est protégée par une construction en pierres, au toit de lauzes, datant de la fin du XVIIe s. La légende dit que la source serait née des larmes intarissables d'une jeune gauloise pleurant la mort de son amoureux, soldat tué par une flèche romaine la veille d'une bataille. Devenue fée elle apparaît sous forme d'une dame blanche certains soirs ! Un lavoir et le canal des Alpilles jouxtent cette fontaine.
Direction Lamanon. Un bout de route fréquentée, prudence dans le rond-point et bientôt un chemin de terre bien agréable, le long du canal EDF, va nous conduire jusqu'à une station de pompage où nous allons pique-niquer. L'eau est amenée de la Durance depuis Mallemort par le canal commun Boiseling/Craponne (dénommé aujourd'hui Canal des Alpines). L'eau s'écoule par gravité mais le pompage permet d'assurer une alimentation en haute pression, pour alimenter tous les canaux , les roubines (ou filioles) sur 46,4 km jusqu'à Plan d'Orgon et continuer vers la vallée des Baux. Le long de ce canal nous rejoignons Lamanon, en passant à proximité des grottes troglodytes de Calès.
Retour sur Sénas, circulation dense aux abords de la ville mais nous sommes prudents. L'ancienne route d'Orgon, moins fréquentée et bordée de cultures fruitières, nous amène à traverser la RN 7 pour retrouver les berges du canal un peu herbeuses avant l'arrivée sur Orgon. Nous traversons le village, longues rues étroites, remparts du XVIe s. reliés par des portes (ex : celle de Ste Anne) qui s'appuie sur la falaise. La chaîne des Alpilles se termine ici avec la colline de Beauregard et son église, sentinelle de l'autoroute et du TGV, et les ruines du château du Duc de Guise.
Encore une dizaine de kilomètres pour le tour du Mt Sauvy, circuit agréable le long des petits canaux , à l'ombre la plupart du temps. Nous découvrons les ruines de la chapelle St Véran , avant de passer à proximité de la carrière Omya qui extrait 900 000 tonnes de carbonate de calcium par an. Nous arrivons bientôt à l'office du tourisme qui abrite le musée Urgonia que nous visitons. Des fossiles datés de 130 millions d'années jusqu'aux traces d'occupation romaine en passant par les vestiges du Néolithique, ce musée abrite les trésors du temps passé.
Arrêt au centre ville sous l'église ND de l'Assomption. La visite de son intérieur nous fait découvrir un chœur oblique par rapport à l'axe central de l'église, qui évoque l'inclinaison de la tête de Christ sur la croix (seules trois églises en France possèdent cette particularité).
Il est temps de rejoindre nos véhicules après cette sympathique journée. Merci aux organisateurs.
Claudie A.
Ce vendredi 21 mai 2021, à 9h15, nous avons rendez-vous à Pont Royal chez le loueur "Provence e-bike". Les VAE sont sortis sur la pelouse et avec un peu d'appréhension, 10 cyclistes vont essayer de "dompter ces montures". Les autres ont leur VAE personnel ( 4 cyclistes) ou leur vélo mécanique ( 4 sportifs courageux ! ). Notre Président forme les groupes et nous partons direction Mallemort pour retrouver Francis près du domicile de Christine et Jean, nos guides du jour pour ce circuit.
Direction Charleval entre la rive gauche de la Durance et les contreforts de la Chaîne des Côtes, paysages ouverts et plats, nous roulons bien. Bientôt nous apercevons le château de Bonneval (1856 de style néo-Renaissance) mis à la disposition d'artistes contemporains par son propriétaire. Le temps d'apercevoir les montants d'une chaise monumentale et une grande bulle brillante dans le jardin du château, nous traversons Charleval. Village atypique qui se distingue par son ordonnancement en rues rectilignes qui rompt avec le schéma habituel du bourg provençal perché ou en coquille. Parfait alignement des rues, nous passons devant la mairie , la fontaine aux Dauphins pour grimper vers la sortie du village.
Regroupement vers le Canal de Marseille et le canal EDF, conseils pour la montée raide sur la D67 et les vélos mécaniques partent les premiers. Pente rude et virages serrés, nous apercevons notre loueur de vélos qui salue et encourage ceux qui souffrent dans la montée. Une pause pas très loin du sommet, dégourdissement des jambes et très vite nous applaudissons les quatre vrais sportifs ! Encore une petite montée, superbe paysage qui s'étend des Alpilles au Luberon et à la plaine de la Durance, puis descente qui demande de tester la réactivité de nos freins car elle est rapide. Depuis la ligne de crête, paysage de bosquets et de pinèdes, le vent nous fouette jusqu'à l'arrivée à Lambesc.
Quelques belles propriétés et nous poursuivons sur la D 65 en passant devant le domaine des Béates, réputé pour ses vins bio. A gauche, le village de Janet et son moulin à huile, puis Caireval, maison de retraite dans la pinède, et bientôt le bassin de St Christophe (1882) imaginé par l'architecte Montrichet pour clarifier les eaux de la Durance avant leur arrivée au Palais Longchamp.
La Durance, la voici avec sa voie verte entre La Roque d'Anthéron et Mallemort ; encore en chantier nous roulons sur une voie caillouteuse jusqu'à un bel aménagement pour pique-nique où nous nous installons. Ayant repris des forces nous continuons sur la voie verte, on l'imagine une fois terminée avec ses points de vue : "épi du Colombier, des Païsses ...", ses panneaux d'information, ses aires de détente dans la fraîcheur de la forêt alluviale, le long des vergers de la plaine agricole.
Voici Mallemort sur son piton rocheux, son clocher, les ruines de son donjon et son pont sur le canal. Après la photo de groupe et nos remerciements, nous laissons Christine et Jean devant leur domicile. Quelques coups de pédale encore et nous rejoignons le parking du loueur à Pont Royal.
Merci aux organisateurs pour cette très agréable sortie.
Claudie A.
Avec la fin des déplacements limités, les activités VTC reprenaient bon train, en ce début mai, avec une première en plein cœur de la Camargue. La petite ondée matinale sur Marseille n’avait pas effrayé nos cinq cyclistes qui après la traversée du Rhône par le Bac du Barcarin, entamaient un périple de 38 km à partir de Salin-de-Giraud.
Passé Faraman et ses nombreuses chicanes destinées à interdire l’accès aux camping-cars et dont la dernière déséquilibrait une des nôtres, la propulsant avec son vélo en contrebas dans les ronces à fleur d’eau d’un canal, le groupe repartait pour s’attarder un moment près des ruines de Tourvieille, une tour datant de 1607 récemment restaurée.
Sous un soleil de plomb, nous arrivions enfin sur la Digue à la Mer, large piste qui se prolonge à l’horizon avec d’innombrables nids de poule creusés par quelques engins et véhicules autorisés d’accès.
Avec sur notre gauche, l’Etang du Grand Rascaillan puis l’Etang du Galabert et sur notre droite l’Etang du Fangassier, peu chargé en sel en cette période, nous observions toutes les curiosités de cet espace naturel protégé (jeunes flamants et échassiers, martelières, amas de sel, sansouïres…), malgré le petit vent de face qui nous obligeait à forcer un peu plus sur nos pédales.
Marie-Claire nous faisait découvrir la salicorne, une plante halophile très riche en sel (1%), en oligo-éléments, en vitamines … que chacune a pu cuisiner à sa façon dès le retour.
Après une halte pique-nique programmée à proximité de la cabane de l’observatoire flamant, nous rejoignions une départementale très peu fréquentée et plus carrossable en direction de Salin de Giraud, vent dans le dos, cette fois.
Un détour par la piste cyclable à la sortie de Salin-de-Giraud nous permettra d’aller observer à partir du point de vue du sel, l’étendue de marais salants de couleur rose ainsi que les camelles qui ressemblaient à de petits monts enneigés.
Merci à Raymonde pour ses photos qui retracent cette très agréable journée autour de l'Etang du Fangassier.
Christian G.